<Par-delà la séparation et le manque - et les différences et conflits en résultant - entre les humain(e)s, à réparer, combler et dépasser
¿ comment ?
par la solidarité, comme désir et mise en œuvre de tout ce qui [ré-]unifie pour réaliser un devenir socio-humain globalement acceptable, et d'abord survivable>
<La violence des dominants sur les dominés et de ceux-ci en réaction selon une idée de justice ressentie
¿ à analyser comment ?
comme une expérience intérieure vers l'extérieur dans un milieu auquel on s'oppose et aussi le milieu où s'organise la violence collective>
<Les oppositions et défis : toutes volontés hégémoniques, économiques ou autres (sur des critères religieux, identitaires (socio-culturels))
¿ à faire évoluer vers ?
des équilibres en termes de développement conjoint des économies; inventer de nouveaux modes de fonctionnement économiques et sociaux/sociétaux; tous compromis acceptables tout en corrigeant les effets délétères pour accomplir les aspirations d'une Nature Humaine" (améliorée/améliorante).>
<L'"humanitaire" comme secours, ébauche de droit - plutôt charité que vraie solidarité commune, aide à vivre et à progresser
¿ évolue quand même ?
vers l'idée d'un minimum vital et sert à cacher les insuffisances, à prévenir ou au moins atténuer les envies d'extermination; rend des vies au moins possibles, peut-être supportables(?)>
<État-Nation "Natio-centrisme" forger ou "re-souder" une conscience nationale, une patrie avec un patrimoine
¿ mais ne peut se contenter ?
de reporter la charge de problèmes non-résolus sur l'extérieur; exemple : ses indésirables, qui ne sont pas seulement chez nous et rétorsions possibles - ou les exterminer (?)>